Ayez le courage d’investir vos finances dans les livres

Avant de devenir un lecteur ou une lectrice, puis enfin profiter des avantages de la lecture, voire se transformer et s’élever, il y’a quelque chose d’essentiel que vous devez faire. Vous devez absolument vous donner les moyens de satisfaire cette première condition sans quoi, il vous sera quasiment impossible de devenir un lecteur. De quoi s’agit-il ?Eh bien, il s’agit pour vous d’avoir la force mentale nécessaire, pour enlever de l’argent de votre poche, juste pour acheter un livre ou des livres.

Tant que vous n’aurez pas le courage d’utiliser votre argent 💸💰 pour vous procurer des livres, ça sera très difficile pour la suite.
Nombreux de ceux qui veulent lire mais qui n’y arrivent pas, sont des gens qui hésitent à dépenser des sous pour acheter un livre. ils reportent la dépense, ils reportent, ils reportent, et pour finir, ils abandonnent.

Tant que vous n’intégrerez pas l’achat des livres dans vos programmes de budget, vous allez toujours tout vous procurer, sauf des livres. Et vouloir être un lecteur ou une lectrice sans livre, c’est comme vouloir acquérir une maison, sans allouer de l’argent pour acquérir un terrain, sans allouer de l’argent pour en acheter pour ceux qui préfèrent les maisons déjà construites. De toutes les façons, il faut utiliser de l’argent pour exclusivement ce qui vous tient à cœur.

Si lire vous tient à cœur, commencez à sortir vos finances, pour acheter des livres, sans trouver que c’est cher, ou que c’est une dépense qui peut toujours attendre.
« Je vous reviens » disent-ils toujours à nous vendeurs de livres.
Attention car le savoir n’attend pas, il évolue avec ceux qui sont décidés et déterminés à l’acquérir pour s’élever. C’est vous qui décidez si, à l’avenir vous voulez être à la table de ceux qui décident de l’orientation du monde, car ils détiennent le savoir ou si vous voulez être de ceux qui attendront de subir les décisions de ceux-là.
Ne l’oubliez pas:
 » Le savoir gouverne le monde. Il tient debout et pèse de toute son autorité là où la force des muscles et les charmes de la beauté ont péri ».

Par Kadidia Nébié