Livre de chevet

C'est une case de grand-mère, Une moiteur de peau sur la terre, Deux enfants dans le lac boueux, Une marmite de pâte sur le feu. C'est une main noire rugueuse Semant une graine bienheureuse; La mangue tombée dans le champ Et des arbustes inclinés par

"Cicatrices" est l'œuvre choisie pour notre quatrième numéro de Livre de chevet . Cicatrices raconte le parcours d'une fille nommée Sira.premierr enfant de la fratrie à avoir obtenu son certificat d'études Primaires, elle rejoint la ville de sya pour y poursuivre ses études et son

Bonsoir à tous, chers Readers-leaders, c’est parti pour le deuxième numéro de notre rubrique intitulée « Livre de chevet ». Il s’agit de l’œuvre « Epître aux épigones ou Leçons de la vie ». Il est le sixième livre de l’écrivain professionnel Adama Amadé Siguiré. Véritable

Pour ce troisième numéro de Livre de chevet, nous vous proposons cette oeuvre de Bénédicte SAWADOGO. Au coeur des mystères révélés :ce qu'ils mont dit. Entrez dans l'univers de la spiritualité surtout dans le respect et la considération des croyances des uns et des autres. Un livre

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Journée mondiale du livre et droit d’auteur, ce qu’en pense Mbernodji

La journée mondiale du livre et du droit d’auteur a été instituée par l’UNESCO et ce, pour promouvoir la lecture, l’industrie éditoriale et la protection de la propriété intellectuelle à travers le droit d’auteur. Cette date du 23 avril est choisie pour marquer aussi la naissance ou la mort des écrivains de renom. Parce que la contribution des écrivains dans les grandes batailles du monde n’est plus à démontrer.
C’est une date symbolique pour la littérature universelle afin de rendre un hommage mondial au livre et à ses auteurs, et encourager chacun, en particulier les plus jeunes, à découvrir le plaisir de la lecture et à respecter l’irremplaçable contribution des créateurs au progrès social et culturel.

Journaliste, enseignant, Sosthène MBERNODJI est le président de l’association des Ecrivains et Auteurs du Tchad depuis 2022

Tandis que le droit d’auteur est simplement la rémunération d’un créateur. Dans de nombreux pays africains, le droit d’auteur n’est pas respecté. D’ailleurs, sa compréhension est une sorte de mystère puisque personne ne connait les redevances collectées moins encore les critères de répartition des fonds. C’est le cas de mon pays, le Tchad où les écrivains sociétaires perçoivent 25 à 30 mille francs CFA l’an. C’est une insulte à leur égard. Les créateurs doivent être respectés. Voilà que le président de transition lui-même vient de publier un bouquin donc auteur, on espère que les choses changent.

Sosthène MBERNODJI, est auteur de 4 ouvrages, par ailleurs commissaire général du festival  international Le Souffle de l’Harmattan

Si les écrivains au Tchad ne vivent pas de leur art au regard du tableau assez accablant, il va sans dire qu’on méconnaît leur contribution. Il va falloir qu’on mette en pratique une politique culturelle. J’ai dû lire dans le programme politique du candidat de Tchad Uni que 100 milliards seront injectés dans le secteur de la culture, puis on parle de l’érection d’un organisme dévoué à la culture. Wait and see.
Il faut qu’on porte un regard sur la culture dans nos pays ute(Tchad, Burkina , RCA, Congo…) afin de redorer le blason du secteur. C’est un élément important, catalyseur de notre vécu et vivre ensemble tant recherché.

C’était là, l’analyse critique, de l’auteur écrivain tchadien Sosthène Mbernodji, président de l’Association des Écrivains et Auteurs du Tchad (ASEAT), par ailleurs Commissaire général du festival international Le Souffle de l’Harmattan ( FISH) à propos de la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur célébrée chaque 23 Avril de l’an.

Propos recueillis par Kadidia NEBIE

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