Livre de chevet

C'est une case de grand-mère, Une moiteur de peau sur la terre, Deux enfants dans le lac boueux, Une marmite de pâte sur le feu. C'est une main noire rugueuse Semant une graine bienheureuse; La mangue tombée dans le champ Et des arbustes inclinés par

"Cicatrices" est l'œuvre choisie pour notre quatrième numéro de Livre de chevet . Cicatrices raconte le parcours d'une fille nommée Sira.premierr enfant de la fratrie à avoir obtenu son certificat d'études Primaires, elle rejoint la ville de sya pour y poursuivre ses études et son

Bonsoir à tous, chers Readers-leaders, c’est parti pour le deuxième numéro de notre rubrique intitulée « Livre de chevet ». Il s’agit de l’œuvre « Epître aux épigones ou Leçons de la vie ». Il est le sixième livre de l’écrivain professionnel Adama Amadé Siguiré. Véritable

Pour ce troisième numéro de Livre de chevet, nous vous proposons cette oeuvre de Bénédicte SAWADOGO. Au coeur des mystères révélés :ce qu'ils mont dit. Entrez dans l'univers de la spiritualité surtout dans le respect et la considération des croyances des uns et des autres. Un livre

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AccueilLu pour vousŒuvre : Poulemdé, de Madeleine De Lallé

Œuvre : Poulemdé, de Madeleine De Lallé

Œuvre : Poulemdé
Auteure: Madeleine De Lallé

Il se nomme Nebnooma. Il est un grand homme qui s’est accompli sur le plan social et financier. Il a des greniers pleins de vivres, de sorgo, de haricot, d’arachides, une douzaine de têtes de moutons, des chèvres, un cheval. Il était aussi riche de trois épouses et vingt-trois enfants. Nebnooma avait donc en apparence toutes les raisons d’être comblé.

Cependant quelque chose manquait à son bonheur. Il l’expliquait par le fait qu’il avait mis du temps à avoir un garçon. En effet de ses vingt-trois enfants, il n’y avait que deux garçons encore très jeunes alors que lui Nebnooma avançait en âge. Cela altérait un peu sa fierté d’homme.

Il eut l’idée de nommer ces deux fils Panedyellé et Wendpoulemdé que tout le monde appelait Poulemdé. Les deux fils quoique de mères différentes, s’aimaient inconditionnellement, se protégeaient, et étaient inséparables.

Mais il eut jour où Nebnooma le père, envoya ses deux fils Panedyellé et Poulemdé, consulter un grand devin pour savoir s’il pouvait accepter de donner une de ses filles en mariage, à une certaine famille sans crainte de liens conflictuels à l’avenir. Le devin rassura les garçons d’informer leur père que l’union des deux familles serait sans danger et florissante.

Mais il prit aussi soin de les informer que l’un d’entre les frères causera la mo&rt de l’autre, et succédera à leur père Nebnooma. « Malheureusement je ne trouve pas de sacrifice pour conjurer le mauvais sort, il arrivera par tous les moyens » avait-ajouté le devin.

De retour, chez leur père, Poulemdé quitta le village en toute discrétion et se retrouva à errer dans d’autres contrées si lointaines afin d’éviter d’être celui qui donnera la mo*&rt à son frère. Il changea même de nom et pris celui de Kayouré. Cela suffirait-il pour éviter la prédiction du vieux devin ?

Pour le savoir, lisez ce Roman éponyme « Poulemdé » de Madeleine de Lallé. Vous y découvrirez comment les prénoms qu’on attribue aux enfants y sont pour leur destinées. Un roman qui s’apparente à un conte philosophique inspiré des mythes sur la destinée de l’être humain.
Lisez et vous nous en direz des nouvelles.

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